Dans Stratégies Logistique n° 179
Exosquelettes et cobots : ménager l’humain à l’ère 4.0
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- Des colis de 30 kg qui en paraissent 5 kg : les exosquelettes percent dans l’intralogistique.
- ® Exhauss
L’intralogistique voit fleurir des solutions d’assistance physique et de robotique mobile abordables et facilement configurables. A la clé, une réduction de l’absentéisme lié aux troubles musculo-squelettiques des opérateurs. Une nécessité aussi pour plus d’efficacité, de souplesse et de flexibilité dans l’organisation des flux.
En 1968, General Electric présentait Hardiman, le premier exosquelette de l’ère moderne. Toute une génération nourrie aux super-héros de Marvel crie alors au génie. Mais si cette combinaison mécanique externe pouvait soulever près d’une demi-tonne, son poids (700 kg) et son encombrement limitaient grandement son usage, d’autant que ses jambes n’ont jamais réellement fonctionné. Face au mythe de l’« iron-man », l’idéologie Flower Power prendra facilement le dessus… Trente ans plus tard, différents programmes de recherche aboutissent à la mise au point d’exosquelettes pour des applications militaires et (...)
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